Continuing education

Why train in risk management? Is it new?

As far back as 2’500 BC, the Chinese reduced the risks associated with transporting grain by ship by dividing and distributing their precious cargo into six ships instead of one. The Egyptians (1’600 BC) had identified and recognized the risks induced by the fumes released during the fusion of gold and silver. Hippocrates (460-377 BC), the father of contemporary medicine, had already established links between the respiratory problems of stonecutters and their activity. Since then, risk management has continued to evolve, dating back to 1667 and resulting from the great fire that destroyed part of London, the first law on fire insurance was published. Today these processes are accelerating and despite the increase in knowledge, what remains to be discovered is ever greater and more complex.

The accident or disaster (accident with a large scale) is the result of a mechanism that starts with a hazard, which will determine the threats that can reach a target (entity that will suffer the damage). But then, there is nothing to do? No, on the contrary. Risk management consists of several steps. It starts with an analysis and identification of hazards, followed by a qualitative and/or quantitative risk assessment (related to the identified hazards). Once these risks have been assessed, they must be reduced and controlled by measures (often called barriers) of prevention (which reduce the probability of occurrence) and protection (which reduce the consequences). As the risk evolves over time, with a modification of the target, with an evolution of the threats or deterioration of the barriers, it is necessary to re-evaluate it periodically to ensure that the acceptable risk remains unchanged. Here we introduce the concept of acceptable risk, which can be understood as the risk that has been reduced to a tolerable level (that one is consciously willing to run) for an organization with respect to its legal obligations and its own occupational health and safety policy.

We address these issues with ongoing training:

  • Short 2-days: on chemical or laser hazards
  • Intensive 5+2+2-days: on risk management – practical application
  • 5 days: Risk management in health health care organisations
  • Intra-company: based on specific client request

Pourquoi se former dans la gestion des risques ? Est-ce nouveau ?

Déjà les chinois en 2’500 avant JC, réduisaient les risques liés au transport de céréales par bateau en divisant et répartissant leur précieux chargement en six bateaux au lieu d’un seul. Les Egyptiens (1’600 avant JC) avaient identifiés et reconnus les risques induits par les fumées relâchées lors de la fusion de l’or et l’argent. Hippocrate (460-377 avant JC), père de la médecine contemporaine, avait déjà établi des liens entre les problèmes respiratoires des tailleurs de pierre et leur activité. Depuis, la gestion des risques n’a cessé d’évoluer, datant de 1667 et résultant du grand incendie qui détruisit une partie de Londres, la première loi sur l’assurance incendie a été publiée. Aujourd’hui ces processus s’accélèrent et malgré l’augmentation des connaissances, ce qui reste à découvrir est toujours plus grand et plus complexe.

L’accident ou la catastrophe (accident dont l’ampleur est grande) est le résultat d’un mécanisme qui débute avec un danger, qui va déterminer les menaces qui peuvent atteindre une cible (entité qui va subir les dommages). Mais alors, il n’y a rien à faire ? Non, tout au contraire. La gestion des risques se compose de plusieurs étapes. Elle débute par une analyse et une identification des dangers, il s’ensuit une évaluation qualitative et/ou quantitative des risques (liés aux dangers identifiés). Une fois ces risques évalués, il convient de les réduire et de les contrôler par des mesures (que l’on nomme souvent barrières) de prévention (qui diminuent la probabilité d’occurrence) et de protection (qui diminuent les conséquences). Comme le risque évolue avec le temps, avec une modification de la cible, avec une évolution des menaces ou détérioration des barrières, il convient de le réévaluer de manière périodique afin de s’assurer que le risque acceptable demeure inchangé. On introduit ici la notion de risque acceptable qui peut se comprendre comme le risque qui a été réduit à un niveau tolérable (que l’on est consciemment prêt à courir) pour un organisme en regard de ses obligations légales et de sa propre politique de santé et de sécurité au travail.

Nous répondons à ces problématiques à l’aide de formations continues :

  • Courte de 2 jours : sur les risques liés à la chimie ou les lasers
  • Intensive de 3+2+2 jours : sur la gestion des risques – mise en pratique
  • 5 jours: Management des risques dans les organisations de santé
  • Intra-entreprise : selon la demande spécifique du client